Mozar

Le soleil brillait de tous ses feux en ce matin du 4 décembre mais c’est le cœur lourd de nuages gris que j’ai dû te dire un dernier au-revoir et à quel point je t’aimais Mozar, mon ti-gars. Sur la table du vétérinaire tu respirais avec difficultés, le pronostic était cruel et sans appel. Pour toi, j’ai dû faire un dernier geste d’amour, les yeux noyés par un chagrin immense. Merci à toi, mon fidèle compagnon tellement spécial et unique d’avoir été le complice de ma vie durant ces 13 trop courtes années. Je n’aurais pu espérer avoir un meilleur chat que toi. Une étoile de plus s’iilumine maintenant dans le firmament des petits félins. Elle brillera à jamais dans l’univers de mes souvenirs les plus doux. Ton papa